Poser les bases de Ta féminité et de Ta maternité

  • Poser les bases de Ta féminité et de Ta maternité

    Nous sommes grands cachés, derrières nos petits…

    Je voulais vous partager un texte, écrit par Fanny Rondelet, qui m’a beaucoup touché et que je voulais inscrire ici, pour le garder avec moi, dans ma mémoire. Je l’ai découvert en écoutant le podcast hebdomadaire d’Isabelle Padovani « Les matins d’Isa », (liens en fin d’article). « Bientôt dans quelques temps, je ne sais quand, mais en tous cas un jour prochain, nous pourrons dire j’y étais et je l’ai fais. Nous pourrons dire, j’étais sur terre à ce moment crucial, à ce moment où nous avons ce choix merveilleux à faire entre: laisser notre pouvoir entre les mains d’une autorité extérieur. Et récupérer notre pouvoir et nous sentir pleinement vivant en…

  • Poser les bases de Ta féminité et de Ta maternité

    La petite enfant en nous

    Avant d’être femme/mère: on a été enfant A ma naissance… …j’étais et je ressentais ça : Un Gros Coeur ambulant. Un Etre d’amour. Quand j’avais un besoin pas nourri, ma meilleur stratégie c’était de pleurer, crier, hurler… …et mes parents n’avaient pas toujours les moyens de décoder. Il semblait qu’ils ne parlaient pas toujours le même langage. Et sans doute que la vie avait fait en sorte d’enrober le Gros Coeur d’amour qu’ils étaient. Car je ne doute pas une seconde aujourd’hui qu’à leur naissance ils étaient eux aussi un Gros Coeur ambulant. Tout comme vous et tous les bébés qui naissent sur cette Terre. Alors que s’est-il passé pour moi,…

  • Poser les bases de Ta féminité et de Ta maternité,  Vivre pleinement sa relation avec son enfant et...les autres!

    La bienveillance est…quand je peux!

    Je suis une maman bienveillante…quand j’en ai les moyens. Avant d’avoir un enfant et une vie de famille, j’étais une personne assez polie, respectant les convenances, ne s’opposant que très rarement en société, disant le plus souvent oui, en pensant non. Les rares fois où je disais non, j’inventais une grosse excuse qui n’était pas la réalité. Ensuite, je culpabilisais, car j’avais appris, comme tout un chacun que « ce n’est pas beau de mentir ! ». Puis, j’ai donné naissance à mon fils. Petit Etre dépendant de moi, du moins au début, et de mes choix. A sa naissance j’ai été sidérée. J’avais plus ou moins entendu et cherché du côté des…