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Explore ta météo intérieure…
Premiers pas vers ton mieux être… Télécharge ton support, imprime le et je te souhaite bon voyage dans l’exploration de ton intérieur.
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Quand on change radicalement sa vie
Un fossé qui nous sépare Je travaillais à temps plein dans une maison de haute couture. Je me définissais alors comme « couturière ». j’avais un rôle parmi mes pairs. A cette annonce, mes interlocuteurs ayant posé la question : « Tu fais quoi toi dans la vie ? », avaient un haussement de sourcils : surpris ? Admiratifs ? Je nourrissais mon besoin d’appartenance. J’ai démissionné, car mes besoins de respect de moi, de mes rythmes, de cohérence avec mes valeurs, de co-création, de partage, de souveraineté, d’actualisation de mes potentiels, d’évolution et d’apprentissage, d’inspiration, d’expression, de paix et d’harmonie… n’étaient pas nourris. La balance était quelque peu déséquilibré me direz vous, enfin, peut-être ?… Aujourd’hui, j’ai choisi…
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Le plus URGENT: l’empathie…
J’aimerai vous partager une de mes plus douloureuses expériences, dans mon cheminement vers la bienveillance : Le manque d’empathie envers moi-même. J’observe sur les réseaux sociaux, en surfant sur internet, en lisant des magasines spécialisés dans la parentalité positive et bienveillante, en lisant les livres de pédagogues, de pédiatres, d’accompagnants à la parentalité, que de plus en plus de personnes ont l’élan de partager la conscience que nos actions sur les enfants, et ceci depuis des temps anciens, ne permettent pas de répondre à leurs besoins. La conscience également que nous n’avions pas suffisamment de compétences pour traduire et comprendre le jeune enfant, pour communiquer avec lui et répondre aux…
- Poser les bases de Ta féminité et de Ta maternité, Vivre pleinement sa relation avec son enfant et...les autres!
La bienveillance est…quand je peux!
Je suis une maman bienveillante…quand j’en ai les moyens. Avant d’avoir un enfant et une vie de famille, j’étais une personne assez polie, respectant les convenances, ne s’opposant que très rarement en société, disant le plus souvent oui, en pensant non. Les rares fois où je disais non, j’inventais une grosse excuse qui n’était pas la réalité. Ensuite, je culpabilisais, car j’avais appris, comme tout un chacun que « ce n’est pas beau de mentir ! ». Puis, j’ai donné naissance à mon fils. Petit Etre dépendant de moi, du moins au début, et de mes choix. A sa naissance j’ai été sidérée. J’avais plus ou moins entendu et cherché du côté des…